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 Gab Jeevas ~

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Gabriel
Petit Fl0odeur
Gabriel


Féminin Nombre de messages : 56
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Loisirs : Mangas
Date d'inscription : 25/08/2006

Feuille de personnage
Prénom: Gabriel
Race: Humain

Gab Jeevas ~ Empty
MessageSujet: Gab Jeevas ~   Gab Jeevas ~ Empty31/3/2010, 23:00

Nom : Jeevas Gabriel

Age : 21 ans

Sexe : Masculin

Race : Humain

Description physique : Gabriel n’a pas grand-chose pour se démarquer du commun des mortel. Et encore plus des autres races. Il mesure dans les environ d’un mètre quatre vingt trois, ou peut être quatre. Il est de stature normale, il est loin d’avoir une musculature très développée. Mais ce n’est pas parce qu’on ne la voit que peu qu’elle n’existe pas. Loin de là. Gabriel a su s’entrainer de façon à développer fluidité dans ses mouvements, rapidité, force, efficacité. Mortelle efficacité. Mais ce n’est qu’en ayant fait l’expérience une fois, ou bien en possédant des talents au combat permettant de reconnaitre un autre combattant expérimenté en face de soi, que l’on peut savoir la véritable nature de Gabriel. Non, en fait, ce qui le distingue à fortiori, c’est son redoutable charisme, son charme ravageur, son sourire à en faire fondre plus d’une. Gabriel est beau. C’est indéniable.
Son visage est avenant et toujours souriant, une peau de pêche sans imperfection, des lèvres douces qui aiment à sourire ingénument mais aussi sadiquement, surtout quand on le provoque. Mais il peut très bien prendre ce petit air moqueur et ironique quand l’envie lui prend. Surtout devant le mari de la femme avec qui il vient de faire l’amour. La plupart du temps, le pauvre homme se retrouve totalement ridiculisé en plus d’être cocu. Mais nous nous égarons. Ses yeux sont légèrement étirés de couleur grise banquise. Si la plupart du temps ils sourient en même temps que ça bouche, il arrive parfois de lui découvrir un air nostalgique, une émotion indéfinissable, comme quelque chose de refoulé et d’enfermé. Mais cette impression passe bien vite. Si Gabriel à des faiblesses, il est hors de questions de croire qu’il en parlera au premier venu, qu’il en parlera tout court.
Puis ses cheveux, ils lui arrivent un peu au dessous des oreilles, blond pâles, fins et souvent ébouriffés. Il a plusieurs mèches qui lui balaient le visage et d’autres un peu plus longues qui lui arrivent aux épaules. Il porte une boucle d’oreille en croix à l’oreille gauche.

Il aime porter des vêtements sombres, la plupart du temps en cuir ou en tissu et porte des bottines souples en cuir léger. Il choisi toujours des vêtements qui lui vont absolument bien ce qui le rend encore plus séduisant de surcroit. Mais ses vêtements sont également fort pratique et ne le gênent pas dans ses mouvements lors de ses attaques, il peut également parfois passer plus inaperçu qu’une ombre, et ce malgré la couleur de ses cheveux.

Caractère : Volage, très volage. Incapable de se prendre au sérieux et trop sur de lui. Voila à peu près le résumé de son caractère, voyons maintenant dans le détail.
Les filles, c’est le grand dada de Gabriel. En effet, il vendrait son âme pour une nuit torride avec une femme parfaite. Mais se fixer quelque part, pas question, il change de femme comme de chaussette… toutes les trois heures… Bon c’est un peu hyperbolé mais pas tant que ça. Sa réputation de coureur de jupon n’est plus à prouver, mais malgré ça, il trouve un nombre incalculable de fille qui se bouscule pour passer quelques instants avec lui. Car bien évidemment, il est excellent au lit, toutes le diront, au grand dam de leur mari ou petit copain. C’est bien pour ça que Gabriel essuie sans cesse des batailles pour venger leur honneur bafoué. Duel qu’il gagne à chaque fois mais il évite de tuer le vaincu, après tout, ce n’est pas de sa faute si sa copine est allé se satisfaire ailleurs. Et si une fille qui lui plait lui résiste, il n’aura de cesse de la harceler jusqu’à ce qu’elle craque. Evidemment, cela fonctionne également pour les hommes, cela demeure juste beaucoup moins connu, il suffit d’être bien renseigné. Il ne dira jamais non à un bel éphèbe qui se présentera.

En plus d’être volage il est doté d’une joie de vivre peu commune pour un assassin. Toujours le sourire aux lèvres. Les problèmes lui glissent dessus sans le tacher. La vie n’a pas à être gâchée par des complications sans importance il faut en profiter. Quelle belle philosophie, surtout quand on hôte cette vie aux autres justement. Et même durant son boulot, il trouve le moyen de se marrer et de faire des plaisanteries stupides. Durant un combat il arrive à se battre extrêmement bien tout en parlant avec son adversaire. Il n’est que très rarement sérieux. Il faut vraiment que ça en veuille la peine. Des fois il simule le sérieux mais est mort de rire dix secondes plus tard. Ça pourrait être fatiguant à la longue pour ses amis… S’il en avait. Non sincèrement, qui pourrait supporter quelqu'un comme lui ? Incapable d’avoir une discussion sérieuse et qui en plus tues des gens alors qu’il n’a statistiquement pas besoin d’argent. A tient, je ne vous avez pas dis. Les parents de Gabriel ont laissé une fortune colossale à leur fils en mourant mais ça peu de personne le savent alors évitez de le crier sur tout les toits. En effet, quand on va dans son appartement, on ne peut guère se douter de son statut de haut bourgeois. Il fait croire que ses meurtres lui font gagner de l’argent mais cet argent, il n’en a pas besoin. Il ne fait pas ça par « plaisir » pur mais cela ne le dérange pas d’ôter la vie de personnes. Il ne voulait pas que ses talents pour le combat et l’escrime servent à une noble cause. Il ne croyait à aucune cause hormis la sienne et n’aimais pas servir les siens. Il aimait profiter des siens.

De part ses talents, ses réels talents au combat, il a développé une confiance excessive en lui. Pour l’instant il ne s’est jamais fait battre mais à force de se croire invincible, ça pourrait bien lui jouer des tours quand il tombera sur plus fort que lui. Car Gabriel apparait comme quelqu’un de très égocentrique. Il n’aime que lui et se trouve bien plus de qualité qu’il n’en a. Il faut dire que dans sa situation, cela suffit. Etre beau et plaire aux femmes, faire ce qu’il lui plait, pourquoi aurait-il besoin d’humilité ? Il y a fort à parier qu’il ne supporte pas l’échec, les moqueries et si on le sous estime.

Il est donc très joyeux, apprécie l’alcool avec modération et fume à l’occasion il est aussi spécialiste de sortir des blagues pas toujours drôles et apprécie les discussions et commérages en tous genre il aime aussi que tout les regards soient porté sur lui sauf bien sur quand il décide l’inverse et là, il y a peu de chance qu’on le remarque, quand il file une proie par exemple. C’est bien comme si Gabriel représentait un paradoxe à lui tout seul. Qui peut se vanter de l’avoir vu sérieux ? Non le jeune homme reste quelqu’un de très secret sur lui-même. Les autres ne peuvent voir que la surface.

Car si Gabriel semble plus ou moins parfait d’apparence, chacun referme une blessure non soignée au fond de lui. Une mère disparue, la vision de massacres bien pires que ce qu’il peut exécuter, sa vie d’insouciance ne serait pas plutôt un moyen d’échapper à la triste réalité ? Il y peut exister des tonnes de suppositions, mais bien sur, il n’y aurait au final pas de grosse surprise à le voir s’enrôler dans une troupe pour détruire une reine sans nom. Après tout, tant qu’on ne le prive pas de sa liberté, son oxygène, sa raison d’être. Et il serait prêt à tout pour la conserver.

Arme(s) : Katana. Pas original mais redoutablement efficace.

Pouvoirs : De séduction ? Et non, ce n’est pas un surhomme, sauf peut être sa maitrise redoutable de son arme, il faut dire qu’il n’est pas très clean.

Historique : Gabriel naquit dans une banlieue riche de Tara, une des villes d’un des royaumes. Ses premières années de vie furent très calmes et tendres. Il fut choyé par sa mère mais son père restait froid et distant avec lui. Il restait néanmoins un enfant enjoué et curieux.
Sa petite vie tranquille fut bouleversée à l’âge de quatre ans. Un matin sa mère, Héloïse, partit faire des courses et tarda à revenir, tarda encore et encore. Gabriel commença à s’inquiéter et restait le nez collé à la vitre, anxieux. La nuit tomba et sa mère n’était toujours pas là. Il mangea seul avec son père qui s’il était inquiet ne le laissa en rien paraître. Il ordonna ensuite à son fils d’aller se coucher. Le petit Gabriel ne put trouver le sommeil jusqu’à ce que des éclats de voix lui parviennent du rez-de-chaussée. Il se leva et regarda à travers les barreaux de la balustrade qui donnait en bas. Son père se disputait violemment avec un autre homme.
-COMMENT ÇA DISPARUE ? VOUS VOUS FOUTEZ DE MOI ?
L’homme baissa la tête, penaud et répondit quelque chose que l’enfant n’entendit pas. Barthélémy blanchit et renvoya le personnage. Il leva ensuite la tête, exaspéré. Son regard croisa celui, gris, de son fils qui prit de frayeur se réfugia dans sa chambre et se mit à pleurer, mort de peur pour sa mère.
Il apparu plus tard qu’une bande de brigand à qui Barthélémy avait fait du tort c’était emparé de sa femme et après avoir abusé d’elle l’avait tué. Le corps revint deux semaines après la disparition sur le pas de la porte des Jeevas. Quand Gabriel entraperçu le corps tuméfié et mutilé de sa mère, il entra dans un grand mutisme qui dura presque un an. Il ne parlait quasiment plus, son sourire super craquant ne fleurissait plus sur ses lèvres. Il restait dans sa chambre entouré de plusieurs livres – pas tous de son âge- essayant de déchiffrer par lui-même les caractères inconnus des pages. Mais ce n’était pas dans les gènes de Gabriel de se laisser abattre de la sorte et de se morfondre. C’est à six qu’il renaquit.

C’est à six ans qu’il commença à fréquenter une école. Et il redécouvrit les plaisirs de la vie en société, les discussions avec les enfants de son âge et le fait de découvrir chaque jour de nouvelles choses. Echappant souvent à la faible surveillance de son père, il sortait dans la rue rejoindre ses amis. Il avait compris qu’il ne devait pas dire qu’il était plutôt riche, cela faisait souvent fuir les gens qui le trouvaient trop snob pour eux.
Cette situation dura jusqu’à ses dix ans. Il avait toujours des bonnes notes et c’était à se demander pourquoi car il n’écoutait quasiment jamais les cours, toujours à discuter avec ses amis. Durant les récrés, Gabriel et ses camarades se battaient. Pas dans le but de se faire mal, pour s’entraîner. Chacun savait que dehors, ce n’était pas sur et qu’une menace pesait sur Idyll. Et de tous, Gabriel était le plus fort. Sa supériorité commença dors et déjà à attirer la gente féminine.
Durant cette même année, son père se remaria avec une jeune femme, une très jeune femme de vingt ans. D’apparence délicate et très jolie, Leïla devenait une vraie garce dès que Barthélémy avait le dos tourné. Elle ne supportait pas Gabriel qui le lui rendait bien et une lutte clandestine s’engagea entre le fils et la belle mère.

A treize ans Gabriel sortit avec sa première petite amie. Il comprit très vite que c’était très agréable. Il était intelligent, fort et surtout très mignon. Il avait toutes les filles de l’école à ses pieds et si au début il n’osait pas rompre quand il n’aimait plus la fille, après qu’une de ses copines ait rompu avec lui, il décida que ça ne se reproduirait plus et que ça allait être toujours lui qui en finirait.
La vie se poursuivait au rythme de ses conquêtes, de ses bagarres où il devenait de plus en plus doué et d’un mépris grandissant envers son père et sa nouvelle femme.

Les seize ans de Gabriel furent l’année clé de sa vie. Lui était devenu un adolescent à tomber par terre si bien qu’on le suppliait presque de se voir accorder une nuit avec lui pour frimer le lendemain avec les copines. Et étrangement, sa belle mère n’échappa à son charme et son sourire ravageur.
-Gabriel… Hâla Leila en lui prenant l’épaule.
-Oui ? répondit-il en se retournant.
En voyant le regarde fuyant de sa belle mère il comprit et retint un sourire triomphant.
-Gabriel… Tu es devenu un beau jeune homme et malgré nos mésententes, il faut dire que… tu me plais.
Gabriel se dégagea et lui fit face, espiègle :
-Ah, tient donc. Et que dois-je en déduire ?
Il voulait qu’elle le dise de but en blanc, il aimait jouer avec les nerfs et les sentiments des filles à qui il plaisait. Et Leïla n’était pas de celle qui hésite durant des milles et des cents. Elle poussa l’adolescent contre le mur et lui souffla.
-Ton père est absent. Gabriel…
Elle lui prit la nuque et l’embrassa. L’adolescent fut forcé de reconnaitre que malgré leurs dix ans de différences, elle était très attirante. Le fils de son mari répondit bien volontiers au baiser, il attendait ça depuis très longtemps, mais pas pour le sens le plus simple que l’on pourrait croire. Leïla attira Gabriel dans la chambre conjugale et le poussa sur le matelas avant de le rejoindre.
-J’ai envie de toi Gab…
Il répondit d’un sourire ingénu. C’était dans la poche. Il passa sa main dans le dos de sa belle tandis qu’elle lui retirait sa chemise. Si vous tenez vraiment à savoir la suite c’est que vous êtes des pervers alors faite le moi savoir et j’écrirais ce passage xD.
-Je comprends d’où te vient cette réputation, haleta Leïla le corps en sueur, Gabriel à ses côtés.
Elle se mit au dessus de lui et recommença à l’embrasser goulûment quand ce qui devait arriver arriva. La porte d’ouvrit sur Barthélémy.
-Ma chérie tu…
Il se tues brutalement, comprenant la situation. Sa femme et son fils nus dans le même lit en train de s’embrasser. Il n’y avait guère d’ambigüité. Leila se releva brusquement et enveloppa le drap autour d’elle.
-Bart… Ecoute ce n’est pas ce que tu crois.
-Alors tu es de ces filles là. Tu me fais croire à ton amour et tu me poignardes dans le dos ?
La peine le rendait mélodramatique et comme il devait avoir un peu bu, la colère monta très vite.
-Je vais te tuer.
Il dit ça sans intonation particulière, avec une froideur exquise, comme la couleur de ses yeux et de ceux de Gabriel.
-Et ensuite mon fils, ce sera ton tour. Je n’aurais plus personne pour me succéder, mais cela ne peut en valoir la peine.
Il ne vit pas le sourire tranquille de son fils, toujours allongé sur le lit. D’un geste sec, Barthélémy tira sa rapière de son fourreau et se dirigea, une lueur de démence vers Leila qui, accolée au mur ne pouvait reculer.
-Bart, ne fait pas l’imbécile, c’est ton satané fils qui m’a forcé, je n’ai rien pu faire, il m’a obligé sinon il a dit qu’il me tuerait et…
La rapière transperça l’abdomen de Leila qui émit un gargouillement en crachant du sang puis en s’effondrant. Gabriel n’avait pas cillé ni prit en compte l’odieux mensonge. Il se leva et remit son pantalon en prenant son temps. Barthélémy, fou de rage se retourna.
-Toi aussi, fils que je n’ai jamais apprécié, toi aussi tu va rejoindre ta maitresse.
Gabriel se pencha légèrement, son éternel sourire aux lèvres.
-Désolé, je crains plutôt que se ne soit l’inverse.
Dès lors, son père fut surpris pour trois raisons.
Il ne comprit pas comment son fils avait pu se mouvoir aussi vite. Ni comment une lame d’un poignard apparut sur sa gorge. Ni comment il mourut, égorgé d’un geste sans appel.
-Au revoir… Papa.

Tout le plan de Gabriel résidait dans cette action. Il ne supportait plus ni sa belle mère ni son père et savait qu’en mourrait, il deviendrait le propriétaire du nom Jeevas et de l’immense fortune de son père. Il pourrait se consacrer aux activités qu’il voulait.
Il essaya son poignard acheté il y avait plusieurs mois et avec lequel il s’était entraîné encore et encore, n’hésitant pas à risquer sa vie en se trouvant exprès dans les endroits à risques de la ville. Son adresse au combat combiné à son poignard fit des ravages et il apparut qu’il était très doué. Cela devrait suffire pour se débarrasser de celui qui ne lui avait jamais témoigné la moindre affection. Et c’était maintenant chose faite. Gabriel regarda la chambre ensanglantée et soupira. Maintenant il devait maquiller ça en scène de ménage. Dans le rapport officiel, prit d’une folie en partir dû à l’alcool, Mr Jeevas tua sa femme avant de s’égorger lui-même. Il fut dit que Gabriel héritera de la fortune de son père, étant l’héritier légitime. Il dut jouer pendant un petit mois le rôle de l’orphelin éploré alors que grandissait en lui un sentiment de liberté absolu. Il était riche et pouvait faire ce qu’il voulait. Ce plan qu’il avait mis au point lui donna un mauvais passe temps. Car tuer son père et le voir se vider de son sang avait été une sorte de déclic. Il s’était rendu compte que c’était si facile d’ôter la vie a quelqu'un, et qu’en plus de ça, c’était lucratif et dangereux. Gabriel aimait le danger, cale rompait avec la monotonie de la vie.
Il se rendit dans un magasin perdu dans la ville. Une petite boutique camouflée entre deux immeubles que seuls les connaisseurs trouvaient. Mais Gabriel l’avait trouvé, et il avait acheté son katana. Sa première vraie lame de cette taille. Il avait tout de suite flashé sur elle et malgré le prix qui pouvait en rebuter certain, il se la paya. Elle était d’excellente qualité et il commença à s’entraîner sans cesse pour la maitriser parfaitement. Il arrêta d’aller à l’école qui était à présent une perte de temps et il savait suffisamment de choses pour s’en sortir.

Les années passèrent et par quelque heureux services rendus il se fit rapidement un nom dans le métier d’assassin. Tout comme dans un métier plus…à tendances sexuelles quoi. Gabriel était plus un nocturne qu’autre chose. Il pouvait très bien faire supprimer quelqu'un et en faire jouir une autre dans la même nuit.
Il appréciait particulièrement les pubs et autres tavernes où les renseignements et employeurs coulaient à flot, de même que l’alcool et la bonne compagnie. Gabriel est un vrai débauché mais se satisfait très bien de sa vie. Il n’a d’attache avec personne, fait ce qu’il veut quand il veut. Toujours joyeux à l’affut du meilleur contrat ou de la meilleure compagnie. Il incarne parfaitement la philosophie « Don’t Worry, Be Happy ».

Autres : « Je suis un homme qui aime les… Deux. Faut pas avoir peur, je ne mords pas. »


[Pardon de ne pas avoir mit en forme les dialogues de l'histoire, c'est juste une histoire de flemme, mais je le fais pour mes rp !
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